Analyse du Dennis

Le Dennis est la non considération d'une partie de la réalité.

Aveuglement
L'acte de Dennis refuse de prendre en charge certaines perceptions : un fragment, éventuellement important, de la réalité, se voit totalement ignoré ; la personne qui est Dennis se comporte comme si cette réalité n'existait simplement pas, alors qu'elle la perçoit.

Freud comprit son père comme vivant alors qu'il était mort, il se comportait comme si ce père vivait toujours. Le Dennis, lui, croit que le Canadien est toujours une équipe glorieuse alors que le CH est un club surévalué, voire médiocre.
Il peut y avoir déni dans d'autres pathologies - le fétiCHisme par exemple Dennis la CHastration.

Le Dennis se trouve essentiellement dans la psychose.

Bon, pour terminer, un clip de mes Dennis préférés, notez le discours chaotique, particulier au Dennis :

J'ai CHoisi ce clip pour vous démonter que le Dennis aime imposer son discours aux autres.

Avec le Dennis, il y a toujours la présence de Just-to-buy-my-love, car un ne va pas sans l'autre.

Que sont les étoiles devenues ?

AH AH AH AH AH !
Les fefans ont voté illégalement pour leurs joueurs lors de la dernière classique des étoiles de la NHL. Depuis ce temps, il est devenu évident que leurs élus étaient des joueurs médiocres : Price se fait défoncer régulièrement que s'en est devenu une vraie blague. Il craque sous la pression : Cric Crac Croc, les Carey aux PriceKrispies !
Alex Kovalev se traine tellement les patins qu'on dirait qu'il traine les poches de patates de sa Russie natale, Andrei « Mr. Bean » Markov est de plus en plus familier avec les différentiels négatifs et Mike Komisarek joue tellement mollement qu'il est de calibre de la East Coast league.

On ne peut pas continuellement triCHer à la face du monde... Alors, que sont les étoiles devenus ?

Cheap shot !

Comme vous le savez déjà, les joueurs du Canadien sont reconnus depuis longtemps pour leur jaunisme et leurs petits coups salauds. Incapable de jouer comme des hommes et d'affronter leurs adversaires de face, ils se contentent de coups vicieux et de cheap shot.
Certains fefans vont affirmer que j'exagère, mais justement, j'ai ici un exemple probant impliquant Andrei Kotsitsyn dans le match d'hier, perdu 4-2 aux mains des Canucks de Vancouver :